Koumba a perdu son cartable tout neuf et espère le retrouver devant l'école. elle part donc de bon matin et il n'y a pas âme qui vive sur le chemin. la petite fille se sent soudain bien seule... heureusement, le soir venu, sa grand-mère est là pour la rassurer. elle va lui apprendre à ouvrir ses sens aux éléments qui l'entourent et aux multiples sonorités de la vie : aux rayons de soleil qui tapent comme les doigts d'un joueur de djembé, à la pluie, qui tambourine comme des baguettes sur un balafon, ou à la complainte de la lune qui résonne dans la nuit comme un air de flûte. chacun de nous ne fait-il pas partie d'un grand orchestre ?